Face à la droite, je vote pour une politique résolument à gauche.
EVELYNE RABARDEL
Vice-Présidente du Conseil Général du Val-de-Marne, Adjointe au maire de Vitry
Candidate communiste à l’Assemblée
JEAN-NOËL COIRAULT
Cheminot, syndicaliste militant et associatif d’Alfortville
Suppléant
Pour une députée qui concrètement porte mes exigences, mes espoirs pour réellement changer ma vie.
La droite de Sarkozy ne peut pas avoir les pleins pouvoirs !
Il y a besoin de députés communistes pour mettre en œuvre une politique de gauche.
Ils se battront pour nos salaires, l’emploi, le logement, l’éducation, la santé, les services publics, la défense de nos droits, la lutte contre les discriminations, l’exclusion et la précarité. Ils seront l’assurance que la gauche restera résolument ancrée à gauche, attentive aux aspirations populaires.
Retrouvez vos candidats
Chaque samedi sur le marché du centre à Vitry
Chaque dimanche sur les marchés du 8 mai et d’Alfortville
Inauguration du Local de campagne des candidats du rassemblement anti-Sarkozy
Rencontre avec Evelyne Rabardel et Jean Noël Coirault
Mercredi 16 mai à 18 heures 30
77 avenue Casanova à Vitry sur Seine
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10 et 17 juin : une nouvelle bataille s’engage !
Evelyne Rabardel et son suppléant Jean-Noël Coirault brigueront le 10 juin le mandat de député et de suppléant sur la circonscription électorale regroupant Alfortville et Vitry. Après la défaite cinglante des forces de gauche, la première étape de reconquête consiste à unir nos forces pour contrer la politique libéral de N. Sarkozy à l’Assemblée. Celui-ci se prépare à avoir une représentation nationale à sa botte.
En constituant un groupe de députés communistes et antilibéraux à l’Assemblée, nous ferons front à la majorité de droite réactionnaire.
Votons et faisons voter pour les candidats communistes !
Nos élus porterons haut les couleurs des luttes sociales, ils appuieront à nos côtés notre résistance aux coups qui vont être portés à l’emploi, au logement, à la santé, aux libertés…C’est à l’Assemblée que se pose la première pierre de la reconquête sociale, de l’union des forces de gauche pour mener une politique progressiste.
Nicolas Sarkozy et ses troupes, ceux qui ont salué sa victoire comme la leurs, Bush, le MEDEF et les hiérarques des grandes entreprises, vont voir se dresser devant eux, à l’offensive, le peuple qui ne se résigne pas à la froide logique du profit.
Le combat ne doit bien sûr pas se limiter à l’Assemblée. Pour les communistes, c’est tout le tissu social qui est porteur de changement. C’est pourquoi, il faut porter de manière résolue un nouvel espoir d’union des forces de progrès qui se battra dans les entreprises, les assemblées locales comme aux côtés des associations solidaires. L’exigence est d’organiser la résistance et de construire au plus vite les conditions et les propositions qui convaincront les Français que les changements sont à porté de main. Cela devra se faire à la lumière de l’échec de la constitution des collectifs unitaires et du premier tour de l’élection présidentielle.
Les communistes continuent à soutenir la France qui place au cœur de son projet les besoins humains, la solidarité nationale et internationale, la lutte contre les inégalités sociales, le combat farouche contre toutes les discriminations, le combat féministe. La France qui ne se satisfera jamais des logiques d’argent, de l’égoïsme capitaliste, du communautarisme, de la démagogie nationaliste et identitaire. Nous sommes cette France qui n’oppose pas ceux qui « se lèvent tôt » à ceux que la logique capitaliste veut parquer aux frontières de la dignité humaine !
Dès son avènement, le 16 mai, Sarkozy s’emploiera à casser le droit du travail en commençant par le droit de grève : nous serons là !
Il détruira la logique d’individualisation des peines avec sa loi sur les peines planchers : nous serons là !
Il mettra en place la majorité pénale à 16 ans : nous serons là !
Il remettra en selle une constitution européenne rejetée par les Français : nous serons là !
Il liquidera la loi sur les 20% de logement sociaux : nous serons là !
Il poursuivra les rafles d’enfants immigrés dans les écoles : nous serons là !
Il accélérera la logique de privatisation de l’enseignements supérieur : nous serons là !
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